Environnement Lançonnais

Mauvaises nouvelles de Fukushima et comment se protéger de la radioactivité grâce à la naturopathie

samedi 5 novembre 2011 par Alain KALT (retranscription)

Si vous écoutez les informations, vous savez que l’entreprise d’Etat japonaise TEPCO, responsable de la centrale nucléaire de Fukushima, a diffusé mercredi 2 novembre un communiqué de presse annonçant que du gaz xénon 133 et 135 avait été détecté à l’intérieur du réacteur n°2.

Or, malheureusement, le xénon 133 et 135 se forme à partir de l’uranium radioactif lorsque le noyau de celui-ci est brutalement cassé par un neutron, autrement dit lorsqu’il se produit une fission nucléaire.

La fission nucléaire est ce phénomène extraordinaire – et extraordinairement dangereux - décrit pour la première fois en 1938 par les chimistes allemands Otto Hahn et Fritz Strassmann, et qui donna naissance à la bombe atomique.

L’apparition de xénon dans le réacteur supposé éteint et « sous contrôle » de la centrale de Fukushima est le signe incontestable qu’il n’est ni éteint, ni sous contrôle, et qu’un phénomène de fission s’est déclenché.

C’est un grave problème parce que la fission nucléaire, si elle se déclenche « en chaîne », dégage une énorme quantité de chaleur, tellement énorme qu’elle permettrait sans problème à l’uranium radioactif en fusion de faire fondre le sol de la centrale, puis de descendre dans la terre.

Une fois dans la terre, cette masse brûlante touchera inévitablement la nappe phréatique, qui se mettra à bouillir sous le sol. Des dégagements de vapeur radioactive, totalement incontrôlables, se produiront alors un peu partout autour de la centrale. Il n’est pas impossible que ces vapeurs se retrouvent des kilomètres, ou des dizaines de kilomètres plus loin, contaminant des zones immenses et aujourd’hui extrêmement peuplées. Ce scénario de l’horreur serait d’autant plus dramatique qu’on ne voit absolument pas où toutes ces personnes pourraient être relogées, ni comment décontaminer ces zones qui étaient, avant le tsunami, réputées pour leurs cultures biologiques et leur nature préservée.

Le drame a déjà eu lieu

Et pourtant, quand bien même ce cauchemar ne se réaliserait pas, il faut avoir le courage et le réalisme de reconnaître qu’en réalité, l’irréparable a déjà eu lieu à Fukushima. Une nouvelle étude française, très largement reprise à l’étranger, mais finalement peu citée par les médias français, a été publiée le 27 octobre dernier par l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (un organisme financé par l’Etat français). Cette étude met à mal le scénario soigneusement construit par les autorités japonaises, selon lequel les conséquences de l’accident auraient été limitées. Rappelons que le complexe de Fukushima, qui a été ravagé par tsunami du 11 mars dernier, était l’une des 25 plus grandes centrales nucléaires du monde. Or, l’étude de l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) rapporte que la quantité de césium-137 radioactif déversé dans l’océan Pacifique après l’accident a été probablement 30 fois plus important que ne l’ont reconnu les autorités japonaises – dont l’objectif principal était d’éviter un mouvement de panique de grande ampleur dans cette zone densément peuplée. Selon l’IRSN, la quantité de césium radioactif relâché a été de 27,1 quadrillions de becquerels, une quantité astronomique. Des centaines de tonnes d’eau de mer ont été pompées dans la centrale pour essayer de la refroidir, puis rejetées contaminées. Le rapport de l’IRSN note en plus que l’eau contaminée s’est répandue ensuite à grande vitesse dans tout l’océan Pacifique, à cause des courants marins exceptionnels existant sur la zone côtière de Fukushima. Les conséquences à long terme pour toutes les populations consommant des poissons ou autres produits de la mer issus du Pacifique ne sont pas connues.

Contre l’accident nucléaire, y a-t-il une solution ?

Suite à l’accident du 12 septembre dernier sur le site nucléaire de Marcoule, je vous avais envoyé un message sur la nécessité d’avoir chez soi de la teinture d’iode, et si possible des comprimés d’iodure de potassium, au cas où le malheur voudrait qu’un accident nucléaire se produise près de chez vous.

En effet, l’iode radioactif qui se dégage lors d’une explosion nucléaire est absorbé très vite par votre glande thyroïde. Vous vous retrouvez donc avec un foyer radioactif mal placé, sous votre gorge, qui vous irradiera longtemps après que la radioactivité se soit dissipée autour de vous.

En revanche, le fait de vous saturer d’iode dans les minutes qui suivent l’accident, en prenant des comprimés, ou en vous passant un peu de teinture d’iode sur la peau, fera que votre glande thyroïde n’absorbera plus l’iode radioactif qui passera à sa portée. Vous aurez donc l’esprit libre pour gérer les autres effets désastreux que l’accident aura sur votre existence, et sur celle de votre entourage...

Jean-Marc Dupuis mis en cause*

Suite à ce message sur l’intérêt d’avoir de l’iode chez soi, donc, j’ai reçu des centaines de réactions de lecteurs qui se sont précipités à la pharmacie pour demander des comprimés d’iode. Patatras, ils se sont dans bien des cas heurtés à des apothicaires qui leur ont répondu, à juste titre, que les comprimés d’iodure de potassium ne sont vendus que sur ordonnance, et que les stocks de comprimés ne seraient distribués que sur ordre du Ministère de l’Intérieur, le jour où une catastrophe se sera produite (et où il sera donc trop tard...).

Par contre, certains pharmaciens se sont laissés aller jusqu’à raconter que la teinture d’iode elle-même n’est plus en vente libre, car trop dangereuse, ce qui est faux. Beaucoup ont aussi mis en garde les lecteurs de Santé & Nutrition des dangers de l’iodure de potassium, comme s’il s’agissait d’une sorte de mort aux rats, ce qui est faux également.

Enfin, j’ai reçu plusieurs dizaines de messages de « professionnels de santé » outrés que j’encourage ainsi la population, de façon bien entendu « irresponsable », à prendre de l’iode.

Mais la réalité, cher lecteur, vous la connaissez comme moi, ou du moins vous vous en doutez : l’iode de nos grand-mères n’est PAS un produit dangereux. Il ne l’a jamais été. Bien entendu, comme tout être humain est considéré débile mental potentiel par les « responsables » qui nous gouvernent, ceux-ci considèrent de leur devoir de nous protéger contre l’utilisation « abusive » que nous pourrions faire de nos comprimés d’iodure de potassium, qui risqueraient de nous rendre malade !!

Et en effet, si, au lieu d’une boîte, vous en achetez trente, et qu’au lieu d’en prendre un comprimé au moment d’un accident nucléaire, vous commencez demain une cure intensive, à raison de plusieurs dizaines de comprimés par jour, vous pourriez finir par vous retrouver avec un goitre, ce qui n’est pas très esthétique ! De même, si vous buvez de la teinture d’iode, l’effet sera assez semblable à ce que vous ressentirez si vous buvez du white-spirit, ou de l’essence : des brûlures douloureuses apparaîtront dans votre bouche, suivie de douleurs abdominales, de diarrhée contenant du sang, de vomissements, d’états de choc, quelquefois d’hémolyse ou d’oedème du larynx. Vous ne pouvez pas non plus exclure des séquelles de l’oesophage, qui se resserrera de façon douloureuse, provoquant ce que les médecins appellent une constriction œsophagienne. Enfin, si l’iode est inoffensive lorsqu’elle est utilisée dans des conditions normales, cela ne vaut évidemment pas pour les personnes allergiques à l’iode (il y en a). Mais s’il fallait interdire au public toutes les choses qui déclenchent des allergies chez certains, alors adieu chats, lapins, cacahuètes et surtout, pollen, sur le territoire européen ! Adieu donc, la vie. Remarquez que, au moins, si vous ne vivez pas, vous ne risquez pas de tomber malade, ni même de mourir. Comme disait Coluche : « Avec le préservatif Nestor, je ne suis pas né, je ne suis pas mort ! »

Revenons sur terre :

L’iode peut être toxique, certes, mais à partir de deux grammes, c’est-à-dire 15 comprimés d’iodure de potassium d’un coup (ils sont dosés à 130 mg). Quant au potassium contenu dans l’iodure de potassium, l’overdose peut elle aussi être gênante, sauf qu’un comprimé d’iodure de potassium contient moins du dixième du potassium qu’on trouve dans une banane ! Il faudrait en avaler des dizaines également pour ressentir un effet indésirable.

Alternatives intéressantes à l’iode

Ceci étant dit, d’intéressantes suggestions ont aussi été faites par des lecteurs de S&N sur les alternatives à l’iode, pour lutter contre les effets délétères de la radioactivité. Je me permets de reproduire ici le cocktail anti-nucléaire recommandé par le Docteur Tao Schaller sur son site Santé Globale, et qui m’a été envoyé par un lecteur (en fait, ce lecteur a même mis le texte en commentaire sur notre site Internet) :

POUR SE PROTEGER CONTRE LES RADIATIONS NUCLEAIRES VOICI UN PROTOCOLE NATUROPATHIQUE :

Quand tout le monde s’apprête à consommer des pastilles d’iodes, voici un protocole suivi par un médecin qui se trouvait en zone rouge lors de l’explosion d’Hiroshima. Refusant de quitter son hôpital et ses malades, il a réalisé un protocole simple contre les radiations. Alors que tous les hommes aux alentours ont été irradiés, totalement brûlés ou morts de leucémie, ses malades et lui ont tous survécus.

La seule mise en garde à prendre en compte est la prise de charbon actif, car il annule tous les traitements chimiques pendant 4h après sa prise !!

Tous les ingrédients proposés ci-dessous ont soit la capacité de capter les cellules irradiées pour ensuite les éliminer par les selles, soit la capacité d’annuler l’effet négatif des radiations. Ce protocole est valable pour tous : adultes, enfants et animaux. Il suffit de diminuer les doses en fonction du poids de chacun. Pour les animaux, mélanger le miso à la nourriture, mettre un peu d’eau argileuse dans leur eau et du chlorure de magnésium sur le pelage.

Ingrédients :

- Miso en poudre ou en pâte : soja fermenté (magasin bio) : 4,50€ les 10 sachets. Se trouve aussi en paquet de 100 gr environ. Contrairement au soja cuit (tofu, tempeh), le soja fermenté (comme le soja germé) est un aliment de qualité. - Charbon suractivé en granulés (magasin bio) : 13 € les 200g (10 jours) - Argile verte Montmorillonite en poudre (magasin bio) : 4€ le kg (évitez Argiletz) - Chlorure de Magnésium en sachet de 3à mg ou Nigari (pharmacie ou magasin bio) : 2,50 € le sachet (ou moins) - Une bouteille en verre pour le chlorure de magnésium (surtout pas de plastique ! ) - De l’eau filtrée, eau Kangen ou eau en bouteille, Mont Roucous, Rosée de la reine, etc. , la moins minéralisée possible !! - Un verre (en verre) et une cuillère en bois pour le mélange de l’argile

Préparation :

- Chaque soir préparer votre argile verte : 1 cuil à soupe dans un verre d’eau. Mélanger avec une cuillère en bois, puis éloignez le verre des sources électriques, téléphones portables, four à micro ondes, etc.

- Préparation du chlorure de magnésium : versez un sachet de chlorure de magnésium dans une bouteille en verre d’un litre ou 1,5 l. Puis versez le dans un verre comme du sirop et ajouter de l’eau. Très amer, on peut ajouter du sirop mais pas jus de fruits acides. Il se conserve au frigo (enlève un peu d’amertume) et se conserve plus de 3 mois.

- Préparation du Miso : Dans un mug ou un bol, verser une cuil à café, puis verser de l’eau chaude sans la faire bouillir.

- Préparation du charbon : Dans un verre, verser deux cuillères à soupe de charbon, bien mélanger puis boire le mélange et rallonger jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de charbon dans le verre… et souriez ! Vous êtes magnifiques !

Posologie pour un adulte de 65 kg :

- Argile verte : 1 cuil à soupe dans un verre 2 à 3 fois fois par jour

- Charbon activé : 2 à 3 cuil à soupe mélangées dans un verre. Boire beaucoup d’eau si vous avez tendance à la constipation. Le chlorure de magnésium étant un laxatif, tout doit s’équilibrer. Il aborde également la détoxication par le jeûne, la pectine de pommes, les algues et les graines germées etc.

- Chlorure de magnesium : 30 ml toutes les 3 heures

- Miso : 4 mugs (grandes tasses) par jou

- Gingko Biloba en comprimés : en cas de séquelle d’irradiations sévères, trouble de la parole, vertiges, etc…

Exemple de protocole :

- Au lever : 1 verre d’argile verte : les 2 à 3 premiers jours ne pas mélanger le fond et boire l’eau à la surface.

- 10h00 : boire 30 ml de chlorure de magnésium

- 11h00 : boire 1 bol de soupe miso

- 13h00 : boire 30 ml de chlorure de magnésium

- 16h00 : boire 30 ml de chlorure de magnésium

- 17h00 : boire un bol de soupe miso

- 19h00 : boire 30 ml de chlorure de magnésium

- 20h00 : boire un bol de soupe miso

- 21h00 : boire un verre de charbon suractivé (actif)

Après, c’est à chacun de trouver son réglage en fonction de son ressenti et de son agenda quotidien.

Notons aussi que la pectine de pommes, les algues et les graines germées sont les aliments les plus puissants qui soient pour se détoxiquer !

Plus une personne est intoxiquée, plus elle subira les effets de la radioactivité. Inversement plus elle vit sainement, plus elle se détoxiquera facilement des radiations et pollutions, quelles qu’elles soient ! Des rats nourris avec seulement avec des graines germées ont supporté des doses de radioactivité des centaines de fois plus fortes que des rats nourris avec des aliments cuits. Le jeûne, après la catastrophe de Tchernobyl a rencontré un immense intérêt de la part du corps médical. L’académicien A.I. Vorobyev, qui fut ministre de la Santé en Russie en 1991et 1992 et responsable de la commission « santé de la population » russe au moment de la catastrophe (auteur de Avant et après Tchernobyl, le point de vue d’un médecin) préconisa l’application du jeûne thérapeutique aux personnes irradiées. Il s’avéra que le jeûne donna des remarquables résultats dans les cas de maladie aiguë du rayonnement, cas pour lesquelles ni les greffes de moelle ni les antibiotiques n’étaient efficaces. Pour la première fois au monde, la pratique du jeûne s’est avérée capable de triompher de maux que les thérapeutiques américaines ou japonaises les plus modernes ne pouvaient guérir.

Voici le témoignage d’un médecin russe :

« Je ne connais pas le nombre de victimes de Tchernobyl guéries par le jeûne. Mais j’en ai vu une, à Ternopol, qui venait pour une visite de contrôle. C’était un sapeur-pompier de la première équipe. Ils avaient reçu un quart de litre de vodka avant d’être envoyés sur les lieux de l’accident ! Quelques jours après, il se trouvait dans le célèbre hôpital de Moscou où le docteur Gouskova faisait une sélection par étages, selon le pronostic. Au septième étage étaient envoyés ceux dont on considérait qu’ils allaient vers une mort certaine. Lui fut placé au sixième. Il y jeûna cinq fois. Quand je l’ai rencontré, il était complètement guéri. Il ne présentait pas l a dépression habituelle provoquée par l’irradiation. Ses yeux riaient. »

Le docteur Shumilov déclare : « Les victimes du désastre de Tchernobyl sont invitées à suivre régulièrement des cures de détoxication par le jeûne avec un régime à prédominance végétarienne entre les cures. »

Aujourd’hui, Shumilov conseille le jeûne préventif à domicile à tous, surtout aux parents avant la conception d’un enfant. Il rappelle que, depuis la deuxième guerre mondiale, 600 tonnes de plutonium sont réparties un peu partout dans le monde et que tout un chacun doit vivre avec cet héritage d’une technologie souvent menée à la légère. N’oublions pas que les statistiques montrent que 12 ans d’essais nucléaires dans l’atmosphère ont produit une irradiation équivalente à 98 accidents du type Tchernobyl !

Nous vivons une époque dangereuse et les « experts » qui doivent nous rassurer sont piégés dans une vision de « dose admissible » qui n’a aucun sens ! Ils disent la même chose pour tous les poisons de la société industrielle : en dessous de telle dose journalière vous ne risquez rien ! Mais ils en tiennent pas compte des phénomènes d’accumulation des diverses toxines : additionnez toutes les substances chimiques de l’environnement et des aliments industriels, les ondes électromagnétiques, les médicaments éliminés dans les eaux et les sols (certains mettent plus de cent ans pour être détruits…) et la pollution radioactive, même à petites doses, et réalisez qu’aucun expert ne connaît vraiment les interactions de ces divers éléments entre eux !

Vous pouvez retrouver le texte complet de la newsletter sur l’excellent site du Docteur Schaller : http://www.santeglobale.info/tal/Le...

A votre santé ! Jean-Marc Dupuis

PS : ayant reçu des centaines de courriels des lecteurs de S&N posant la même question, je réponds une fois pour toutes : OUI, si vous vous abonnez maintenant à Santé Nature Innovation, vous recevrez le dossier de novembre "Vaincre le diabète : la révolution de la nutrition scientifique" ET le dossier du mois d’octobre "Nouvelles solutions contre l’arthrose". Ce n’était pas prévu au départ, mais je cède à la pression du nombre... A votre tour, n’oubliez pas que vous pouvez vous aussi choisir l’abonnement de soutien à 59 euros, au lieu des 39 euros, si ce n’est déjà fait.

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