Environnement Lançonnais

Ecrasé par les douleurs ? Lisez ceci

lundi 9 juillet 2012 par Alain KALT (retranscription)

« Cher Jean-Marc,

« Je m’adresse à vous car vous êtes mon dernier espoir. Je souffre de douleurs neurogènes et je ne sais pas comment les autres font pour vivre, ou même "survivre" ? J’ai 23 ans, et mes douleurs augmentent depuis 5 ans au moins. Je ne travaille plus depuis 36 mois (licenciement pour inaptitude physique). Que faire, quand on a mal à en hurler, à tomber par terre, parce que mes jambes ne me tiennent plus, à ne plus pouvoir bouger au lit, tellement j’ai mal ? »

Recevoir de tels SOS est un des aspects les plus bouleversants de mon métier.

Le problème est qu’il n’est pas toujours possible d’aider une personne qui vous crie au secours. Que faire, alors ?

Lui conseiller d’attendre, en disant que « ça va passer tout seul » ? Prétendre qu’une solution à son problème va peut-être bientôt être découverte par la « science » ?

Oui, que faire quand, au fond de soi-même, on sait que la médecine n’a rien à proposer, en dehors bien sûr de la morphine qui fait perdre conscience et déshumanise ?

La douleur est réelle

Si vous souffrez terriblement, la première chose que j’ai à vous dire est que je vous crois.

Je ne doute pas un seul instant que votre douleur est réelle. Je pense d’ailleurs qu’elle est pire encore que vous ne voulez bien le dire.

Car notre corps est capable de nous torturer, jusqu’à nous donner envie de nous couper un membre (si c’est un membre qui nous fait mal) ou de nous suicider si ça ne suffit pas.

Et cette situation n’est ni rare, ni extrême. Au contraire : la douleur vient si facilement, elle devient vite si violente, et elle est si répandue, que bien heureux celui qui n’a pas eu ce rêve de se jeter d’une falaise pour qu’enfin, cessent les tourments.

- Imaginez vivre avec la sensation permanente qu’on vous applique un fer à repasser bouillant contre la joue, vous provoquant une douleur à hurler sauf que vous ne pouvez pas parce qu’on vous prendrait pour un fou et qu’on vous internerait : c’est ce que ressentent bien des personnes atteintes de zona sur le visage.

- Imaginez vivre couché, le moindre mouvement vous déclenchant la douleur d’un coup de couteau dans la cuisse, et ce pendant des semaines ou des mois, à tel point que vous préféreriez qu’on vous coupe la jambe, mais on ne peut pas le faire parce que ça ne changerait rien, la douleur étant provoquée par une inflammation de votre nerf dans la moelle épinière : c’est ce que ressentent tant et tant de personnes qui souffrent de sciatique.

Et je pourrais donner des centaines d’exemples.

La douleur des autres fait peur, y compris au personnel médical. Alors le plus simple est de la faire disparaître par des moyens qui suppriment la conscience du patient (anesthésiants), ce qui est une façon de priver de sa vie la personne douloureuse (je préfère le terme « douloureuse » à celui de « souffrante », qui regroupe tous les malades, y compris ceux qui n’ont pas mal).

Un autre moyen, qui est pire, est de nier cette douleur, en disant qu’elle est imaginaire, psychologique, (ou « psychosomatique », cela fait plus savant), faisant de la personne qui souffre... le coupable, un dérangé ou un égoïste qui affabule pour accaparer l’attention. Là aussi, en général, on essaye de l’assommer à coup de somnifères et d’antidépresseurs, soi-disant pour l’aider, en réalité pour s’en débarrasser.

Et c’est là que, pour la personne douloureuse, s’ouvrent les portes de l’enfer.

La douleur est une injustice

Je considère au contraire que, face à la douleur, il est essentiel que l’entourage reconnaisse le caractère objectif, indiscutable des faits. C’est pour moi la pire chose que l’on puisse faire à une personne douloureuse, que de l’accuser d’inventer sa douleur.

Je vais faire un parallèle entre les victimes de douleurs et les victimes d’injustice, car ce sont deux situations proches, la douleur étant une injustice, et l’injustice étant une douleur (douleur morale, mais qui peut être d’une extrême violence).

Les victimes de crimes demandent avant tout qu’on ne nie pas la réalité de ce qui leur est arrivé, qu’on ne leur dise pas que c’est leur faute, qu’on ne cherche pas à excuser leur agresseur ou à lui trouver des raisons.

Si vous commencez à minimiser ou à nier les faits, vous causez à la victime une douleur plus vive encore que celle du crime lui-même. Vous la mettez dans un état de détresse qui peut la conduire à la folie ou au suicide (à ce sujet, on parle beaucoup du suicide dans les prisons, mais les statistiques de suicide sont bien plus élevées chez les personnes qui ont été victimes d’agressions, en particulier lorsque la Justice n’a pas pu ou voulu rendre justice).

Malgré tout, cela reste un réflexe on ne peut plus répandu, que de chercher une « explication » au crime, cette explication faisant en général intervenir le comportement, la personnalité de la victime, qui n’aurait pas dû être comme ci, faire cela, regarder l’agresseur comme ceci, se trouver à tel endroit, à tel moment, et qui ne peut donc pas s’étonner d’avoir été... frappée, violée, poignardée.

Faites l’expérience sur vous-même : lorsque vous lisez des récits de crimes dans la presse, votre cerveau va immédiatement chercher dans les détails de l’histoire les raisons qui font que ce drame n’aurait pas pu vous arriver.

« Je n’habite pas ce quartier ». « Je ne prends jamais cette rue ». « Je suis un homme », alors que la victime est une femme, ou l’inverse.. « Je suis adulte », alors que la victime est un enfant. « Mes enfants ne sont pas dans ce collège ». « Je n’aurais jamais commis un telle imprudence »...

Je crois qu’il y a d’ailleurs une explication psychologique à cela : pour se rassurer, l’être humain a besoin de s’imaginer qu’il contrôle les événements de sa vie. Il se persuade que ce qui lui arrive n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat de choix et de décisions qu’il a prises. Et cela va le pousser à considérer la victime comme au moins partiellement responsable de ce qui lui est arrivé.

Le problème est que cette attitude, certes confortable pour soi, provoque une atroce déchirure chez la victime. Pour pouvoir surmonter sa douleur, se reconstruire, pardonner à son agresseur, et enfin retrouver la sérénité, la victime a d’abord besoin que la réalité de l’injustice soit reconnue. C’est une première étape indispensable. Si cette réalité est niée, ou minimisée, elle restera obsédée par ce qu’elle a subi et s’enfermera dans un enfer mental.

Eh bien il me semble que c’est la même chose pour la douleur d’un patient. La personne douloureuse ne peut commencer à envisager d’apprendre à vivre avec sa douleur si celle-ci est niée par son entourage.

La première étape de l’acceptation de la souffrance ne doit donc pas être accomplie par le patient lui-même, mais par son entourage, les médecins, le personnel soignant, ou toute autre personne présente, qui doivent reconnaître la réalité de la douleur.

Besoin de témoignage

Je crois que c’est aussi ce qui explique l’intense besoin de témoignage que ressentent les personnes douloureuses. Elles veulent absolument entendre quelqu’un d’autre raconter sa propre souffrance, parce qu’alors, elles sauront qu’il y a au moins une personne qui sait, qui ne nie pas, qui ne minimise pas, parce que le drame lui est arrivé à elle aussi.

Tant qu’une personne qui souffre n’est pas sûre que quelqu’un a autant souffert qu’elle, elle éprouve une sourde angoisse : l’angoisse de la solitude, l’angoisse de vivre, seule, une épreuve que nul être humain n’a jamais connue, et qui reste indescriptible.

En revanche, la rencontre, ou la simple lecture, du témoignage d’une personne qui connaît sa souffrance lui apporte un premier soulagement. C’est normal. C’est même fondamental. Ce n’est pas du sadisme pour autrui, une sorte de réjouissance malsaine, mais au contraire le besoin profondément humain de se savoir compris (ou potentiellement compris) par une autre personne.

A partir de ce moment-là seulement, la personne souffrante peut accepter la situation et commencer à se demander : « Maintenant, qu’est-ce que je fais concrètement pour pouvoir recommencer à vivre, avec ma douleur ? »

Les douleurs sans solution connue

Si votre douleur est causée par des tissus endommagés, par exemple des problèmes de cartilage, une hernie, une fracture, une brûlure grave, etc., vous vous concentrerez bien sûr d’abord sur cette cause, sans garantie d’ailleurs qu’une solution soit trouvée.

Mais il existe bien souvent des situations dans lesquelles on ne résoudra pas la cause. De nombreuses maladies provoquent d’intenses douleurs parce que le système nerveux traite la douleur de façon anormale, par exemple, la fibromyalgie.

Sans aucune blessure ou maladie observable, vous éprouvez une douleur musculaire diffuse, profonde et continue, sans répit, avec des périodes d’exacerbation. Des points sensibles vous font souffrir quand on appuie dessus. Vous êtes fatigué, vous dormez mal, vous perdez la mémoire. La fibromyalgie peut aussi provoquer des troubles digestifs (côlon irritable, etc.), le syndrome des jambes sans repos, une cystite interstitielle.

Nous allons donc traiter du cas le plus difficile : celui d’une douleur intense, pour laquelle la médecine n’a pas de solution connue, parce que la cause se trouve directement dans le système nerveux.

Ces maladies rendent la vie infernale. Bien souvent, le patient sombre en dépression. Le taux de suicide est 10 fois plus élevé chez les personnes atteintes de fibromyalgie que dans le reste de la population, et pour cause, la douleur est insupportable, et s’aggrave encore en période de stress, en cas de fatigue et même avec un changement de temps.

La médecine conventionnelle n’a alors rien à proposer. Que faire alors ?

Eh bien fort heureusement, il y a beaucoup à faire. Et c’est ce que nous allons voir, ces conseils pouvant s’appliquer à toutes les personnes douloureuses : Devenir réaliste face à la médecine.

J’ai déjà parlé du syndrome de l’auto-stop, cette situation où le patient attend passivement que le thérapeute ou le médecin lui trouve une solution.

Dans tous les problèmes de santé, mais plus encore dans le cas qui nous occupe, les douleurs, c’est le pire tort que vous puissiez vous causer à vous-même. D’urgence, il faut cesser de considérer le médecin comme la principale personne en charge, et se mettre soi-même dans le siège du pilote : c’est ma vie, mon problème, et c’est moi qui vais le résoudre. Certes, vous irez ponctuellement chercher l’aide d’un thérapeute ou d’un médecin, qui peuvent toujours être utiles en certaines occasions, mais vous devez cesser d’attendre qu’ils règlent le problème à votre place.

« La force qui est en chacun de nous est notre plus grand médecin » disait le grand médecin Hippocrate il y a 2500 ans. Il se déclarait d’ailleurs incapable de soigner les personnes qui n’avaient pas décidé de guérir !

C’est une question de réalisme et, finalement, de passage à l’âge adulte : cesser d’attendre des autres qu’ils vous « prennent en charge ». Réaliser, même si c’est dur, que vous êtes ultimement la seule personne responsable de votre destin.

Ces grands principes étant posés, voici maintenant des conseils beaucoup plus concrets pour surmonter ou accepter la douleur, faire en sorte de pouvoir vivre avec elle :

1) Sortir du cercle vicieux du stress

Quelles que soient les causes de vos douleurs, vous souffrirez moins si vous êtes moins stressé.

Le stress peut être un déclencheur, dans le cas de la fibromyalgie. C’est souvent le cas de personnes perfectionnistes, exigeantes envers elles-mêmes et leur entourage, souvent grosses travailleuses, généreuses, ne se ménageant pas. Cela provoque une tension musculaire et des problèmes de digestion, qui aggravent leur état général.

Un cercle vicieux s’installe parce que le stress aggrave les douleurs, et les douleurs provoquent une aggravation du stress.

Vous secrétez des hormones du stress, qui tendent vos muscles et vos tendons, jusqu’à ce qu’ils ne se détendent plus, se bloquent, et deviennent douloureux. Ou alors, de façon discrète, vos muscles vont peu à peu s’épuiser, s’enflammer, et s’endolorir, provoquant à leur tour un stress supplémentaire.

Votre système digestif est lui aussi vulnérable au stress. Selon le Dr Jean-Paul Curtay, « l’ensemble de notre tube digestif, de la bouche à l’anus, est tapissé de cellules musculaires organisées en couches circulaires qui peuvent, comme n’importe quel muscle, se contracter, se « spasmer ». C’est ce qui se passe lorsqu’on est stressé, avec pour conséquences de nombreux symptômes digestifs : difficultés à avaler, aérophagie, ballonnements, pesanteur gastrique (« ça m’est resté sur l’estomac »), « crise de foie », gastrites, ulcères digestifs, inconfort, tendances à la diarrhée. Certains de ces troubles peuvent s’aggraver et évoluer vers des maladies inflammatoires chroniques du système digestif parfois très invalidantes. Les études montrent que les personnes qui sont victimes de ce type de maladies ont souvent un profil perfectionniste, fortement obsessionnel et sont donc particulièrement vulnérables au stress. » (1)

Il va donc falloir diminuer le stress, apprendre à le contrôler. L’éventail des thérapies est très large, de la méditation à la complémentation nutritionnelle (tyrosine, glutamine, tryptophane...) en passant par le yoga, la cohérence cardiaque, ou la natation.

Pour les personnes qui souhaitent en savoir plus à ce sujet, je recommande de lire le dossier Santé Nature Innovation « Fibromyalgie : les solutions naturelles pour vous libérer de la douleur sans médicaments chimiques ».

2) Soignez votre moral

Le plus grand danger qui pèse sur les personnes douloureuses est celui de renoncer à la vie, et d’entrer en dépression.

Or il se trouve que le millepertuis (Hypericum perforatum) a montré son efficacité sur les dépressions légères à modérées. Dans une étude sur 79 patients, on a constaté qu’il améliorait les symptômes de dépression, tout en diminuant la sensation de douleur.

C’est donc une plante à essayer, mais attention, il existe des contre-indications donc consultez d’abord votre médecin avant de prendre du millepertuis.

3) Rééquilibrer vos neurotransmetteurs

Il se peut que vos douleurs soient aggravées par un déséquilibre de vos neurotransmetteurs, ces substances chimiques qui transmettent les impulsions électriques entre vos cellules nerveuses.

Plusieurs d’entre eux sont impliqués dans la douleur et sa perception. Pour schématiser, ce sont :

- La sérotonine ;

- Le Gaba ;

- la noradrénaline ;

- la dopamine ;

- le glutamate.

Il existe des moyens, essentiellement nutritionnels, de rétablir l’équilibre de vos neurotransmetteurs. Je ne peux pas détailler cela ici mais je vous recommande ici aussi, si le sujet vous intéresse vraiment, de lire ou de relire le dossier « Fibromyalgie : les solutions naturelles pour vous libérer de la douleur sans médicaments chimiques ».

Ce dossier contient le nom de tous les produits intéressants, les doses, où se les procurer, etc. Il intéresse toutes les personnes douloureuses, pas seulement les personnes qui souffrent de fibromyalgie.

4) Intolérances alimentaires

Chez certaines personnes, la barrière intestinale devient poreuse et laisse passer de grosses molécules qu’elle devrait en principe filtrer. Cette porosité se développe suite à une inflammation de l’épithélium intestinal. Des protéines de blé (gluten), des protéines de lait de vache (caséine) passent dans le sang et peuvent déclencher une réaction immunitaire et inflammatoire, mais aussi atteindre le cerveau et contribuer à l’aggravation de la sensation de mal-être.

Si vous souffrez déjà de douleurs chroniques, il est donc important de vous assurer que vous n’avez pas, en plus, des intolérances alimentaires qui aggravent la situation.

5) Détoxification

Dans le même ordre d’idée, les polluants alimentaires et atmosphériques, les pesticides, nitrates, les produits ménager, le tabac, les médicaments, les composés générés par les hautes cuissons (protéines glyquées), les produits chimiques des emballages alimentaires ont des retentissements sur l’immunité et peuvent dangereusement freiner le processus naturel de guérison de votre corps, et la disparition de vos douleurs.

Une cure de détoxification peut vous permettre de soulager vos douleurs bien plus vite que l’évolution précédente ne pouvait vous le laisser penser.

6) Exercice physique

Les douleurs, y compris les douleurs articulaires, ont tendance à diminuer lorsque vous faites de l’exercice physique. Cela paraît contradictoire, le réflexe étant en général de bouger le moins possible pour diminuer la douleur.

Mais en réalité, faire du sport provoque la sécrétion d’endorphines, des hormones qui diminuent la sensibilité.

Choisissez bien entendu une activité d’intensité modérée : marche, vélo d’appartement, natation, danse de salon. Des résultats très positifs ont été obtenus lorsque des patients ont fait de l’exercice dans un bassin d’eau chauffée. (2)

7) On peut aussi mettre à profit une cure thermale et un séjour à la mer.

Il faut être patient parce que les améliorations sont ressenties surtout à partir de la huitième semaine, et vont crescendo jusqu’à la vingtième semaine.

8) Hypnose

L’hypnose thérapeutique est de plus en plus associée aux traitements médicaux traditionnels et si vous ne l’avez pas essayée, le moment est peut-être venu de le faire. Dans l’hypnose le patient est guidé par l’hypnologue pour répondre à des suggestions. Une branche de l’hypnose, l’imagerie guidée permet de conduire le patient à imaginer une réalité interne en l’absence de stimuli externe. Le but est de modifier certaines sensations.

C’est cette technique qui a fait l’objet de 6 études cliniques dans la gestion de la douleur de la fibromyalgie. Ces études montrent que l’imagerie guidée est efficace pour diminuer les sensations douloureuses. On ne sait pas si les autres symptômes de la fibromyalgie sont réellement améliorés, car les résultats sont difficiles à interpréter.

Vous trouverez plus de renseignements sur tous ces sujets, y compris les intolérances alimentaires et la détoxification dans le dossier « Fibromyalgie : les solutions naturelles pour vous libérer de la douleur sans médicaments chimiques », que vous pouvez retrouver en cliquant ici, si vous l’avez perdu.

Je ne sais pas si ce message vous a aidé. Je le souhaite en tout cas.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis

Sources de cet article :

1. Dr Jean-Paul Curtay, Fybromyalgie, Thierry Souccar Editions, 2012.

2. Munguía-Izquierdo D, Legaz-Arrese A. Exercise in warm water decreases pain and improves cognitive function in middle-aged women with fibromyalgia. Clin Exp Rheumatol. 2007.

Si vous souhaitez commenter cet article, vous pouvez vous rendre sur : www.santenatureinnovation.fr...

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